• Naissance du BICOM

Le "père" de la thérapie par Biorésonance est un médecin allemand nommé Franz Morell. Dans les années 70, il mis au point un instrument d'une extraordinaire précision appelé "MORA", puis plusieurs années plus tard, Hans Brûgemann lui donna son nom actuel à savoir BICOM (abréviation de Biocommunication), ce fut en 1987.

• La thérapie

Le but de la thérapie et de réduire les facteurs responsables de la maladie et ainsi réactiver la communication dans le corps.

Le patient est relié à l’appareil BICOM par des électrodes d’entrées et de sorties, il peut s’asseoir ou se coucher confortablement. La thérapie dure habituellement une heure, elle est ressentie comme agréable et est complètement indolore. Les vibrations se transmettent par câbles ou par radio au BICOM et par le même canal, ce dernier réinjecte au patient des vibrations thérapeutiques.

Les vibrations émises par une personne en bonne santé ont une structure différente de celles qui sont émises par une personne malade. Chez quelqu'un qui est en bonne santé, les vibrations sont harmonieuses, elles sont dites physiologiques, tandis que chez une personne malade elles sont disharmonieuses dites pathogènes. L'image vibratoire d'un patient fournit donc au thérapeute une quantité d'informations sur son état de santé.

Le traitement consiste en la correction des signaux électromagnétiques de basses fréquences émis par le fonctionnement des organes.

• Vibrations inversées...

Comment le BICOM corrige-t-il les vibrations disharmonieuses ?

Le Docteur Morell s'inspira de la loi physique selon laquelle les vibrations sont influencées par leur exact reflet. Il a été le premier médecin à mettre cette loi en application.

Il s'agit donc de réinjecter au patient ses propres vibrations, mais de façon inversée, mais également celles des substances étrangères présentes dans son organisme (pesticides par exemple), également inversées.

La technique de l'inversion des vibrations a permis à la médecine de réaliser une percée extraordinaire, inimaginable jusque-là, à savoir débarrasser l'organisme d'un sujet de ses surcharges et par conséquent rétablir sa capacité d'autorégulation.